Le ministère public tunisien a fait appel du non-lieu prononcé la semaine dernière en faveur d'une femme violée par des policiers en septembre et qui risque de nouveau d'être poursuivie pour atteinte à la pudeur, a annoncé lundi une avocate de la victime.
"Nous venons d'apprendre ce matin que le ministère public avait fait appel" du non-lieu, a déclaré à l'AFP l'avocate Bochra Belhaj Hmida.