Les euro-obligations ne sont pas une solution qui contribue à la relance de la croissance, a estimé mercredi la chancelière allemande Angela Merkel, réitérant ainsi son opposition à la proposition du président français François Hollande à son arrivée à un sommet à Bruxelles. "Les euro-obligations ne contribuent pas à relancer la croissance", a-t-elle déclaré, en soulignant également qu'elles étaient contraires aux traités européens.