Un vice-Premier ministre russe, Dmitri Rogozine, a nié vendredi avoir insulté la chanteuse américaine Madonna traitée d'"ancienne p...", affirmant que son propos avait été mal interprété.
Dans une conversation sur son compte Twitter avec un interlocuteur qui évoquait Madonna, Dmitri Rogozine avait écrit: "Avec l'âge, toute ancienne p... veut donner des leçons de morale à tout le monde", après que la pop star a réclamé la libération des trois jeunes femmes du groupe punk russe Pussy Riot.
Cette lettre suivie de trois points peut signifier bien autre chose que le mot qui est venu à l'esprit de tous, a assuré Dmitri Rogozine. "Tout le monde a compris d'une seule manière la lettre b de mon tweet, alors que cette lettre pouvait signifier 'déesse' ou, par exemple, 'danseuse'". Et aussitôt on a mis en relation ma déclaration et la soi-disant Madonna (que le diable l'emporte)", a écrit M. Rogozine sur son compte Facebook.