La Maison Blanche a critiqué mardi l'arrestation du chef des Frères musulmans en Egypte, estimant qu'elle ne respectait pas les critères du respect des droits de l'homme.
"Il s'agit de la dernière action en date prise par le gouvernement (intérimaire égyptien) qui ne reflète pas son engagement à un processus politique rassembleur, et c'est une action contraire à l'idée d'un système judiciaire indépendant de la politique", a déclaré le porte-parole adjoint de la Maison Blanche, Josh Earnest.