Le président français François Hollande a affirmé jeudi soir à Bruxelles qu'il "n'imagin(ait) même pas" que la Russie puisse s'opposer à la "résolution humanitaire" que la France entend désormais faire adopter par le Conseil de sécurité des Nations unies.
Des sanctions ? "Nous n'en sommes pas là". Des sanctions de l'Union européenne font "partie des options qui pourraient être ouvertes" mais "nous n'en sommes pas là", a poursuivi François Hollande, précisant que "le Conseil européen pourrait être amené à se prononcer dans les prochaines semaines" en cas de nouvelles "violations des droits humanitaires les plus élémentaires".