A l'instar de la Pologne, la Roumanie s'est dit jeudi, par l'intermédiaire de son président, opposé au système de quotas proposé par la Commission européenne pour la répartition de 160.000 réfugiés, présents déjà sur le sol européen.
Pas une solution. "Nous ne considérons pas que c'est une solution ou que c'est opportun de parler de quotas obligatoires, calculés de manière très bureaucratique, presque comptable je dirais, sans consulter les Etats membres", a déclaré Klaus Iohannis à la presse.
>> Un maire peut-il choisir les réfugiés qu'il accueille ?
Un maire peut-il choisir les réfugiés qu'il...par Europe1fr