Si Mériadec Raffray, journaliste à Valeurs Actuelles, s'est dit inquiet qu'il n'y ait "jamais eu autant de frictions" dans un "monde des forces armées où une étincelle peut faire déraper les choses", le général Dominique Trinquand s'est voulu rassurant. Dans On marche sur la tête, ce dernier a rappelé que la situation - bien que tendue avec l'embrasement du Proche-Orient - n'était "pas comme en 1914", précisant qu'à cette époque, "le Kaiser était sur son yacht, n'avait pas de communication", raison pour laquelle "son cabinet a poussé à la guerre". "Pour avoir beaucoup travaillé à l'ONU, [...] on peut se parler et communiquer. Cela n'empêche pas des frictions, ni un certain nombre de choses, mais tant qu'on se parle, on peut éviter l'escalade", a-t-il ajouté.