François Hollande a dénoncé vendredi à Gérardmer le protectionnisme économique prôné par "celui qui prête serment" à Washington, évoquant sans le nommer le président élu américain Donald Trump, son "possible collègue". Fermer les frontières comme le recommandent certains, "dont celui qui prête serment" à Washington, qui voudrait "des taxes ou des droits" pour "empêcher un certain nombre de produits de venir aux Etats-Unis", reviendrait à remettre "en cause (le) travail", a mis en garde le chef de l'Etat au cours de la visite d'une entreprise textile.
"Nous sommes dans une economie mondiale ouverte. Il n'est pas souhaitable de vouloir s'en isoler" @MartinePinville@fhollande
— Élysée (@Elysee) 20 janvier 2017