"Aujourd'hui, j'arrive à vivre avec 4.000 euros par mois". C'était le titre de l'interview accordée par Nabilla au JDD, dimanche. "Un piège, encore une fois" selon la jeune femme, qui estime que les médias cherchent à la discréditer. "Ils m'ont demandé si je pouvais vivre avec 4.000 euros, c'est eux qui ont posé la question. J'ai répondu oui et ils ont écrit ça", assure-t-elle. "Je peux nourrir dix familles avec 4.000 euros, je sais bien que c'est énorme", a-t-elle poursuivi.
"Je lis des choses surréalistes". "Tout le monde a écrit des choses sur moi, j'aimerais, moi aussi, avoir droit à un peu de parole", a estimé Nabilla. "Il y en a qui disent que j'ai enlevé mes seins, d'autres qui disent que j'ai enlevé mon cerveau, tout se mélange, je lis des choses surréalistes", explique-t-elle. "C'est blessant, je ne peux pas dire que ça ne me touche pas, ça serait mentir."
"Je n'ai pas besoin de vous". Nabilla est également revenue sur une séquence de l'émission "Le Tube", sur Canal Plus, diffusée en 2013. On y voyait l'ancienne star des "Anges de la télé-réalité" fondre en larmes en entendant un enregistrement sonore de son père, qu'elle ne voit plus depuis plusieurs années. "C'est un truc que je n'aurais pas voulu traverser devant les gens", a-t-elle expliqué. "J'aurais voulu que les choses se fassent naturellement, sans que les médias aillent le chercher et le traînent vers moi", a poursuivi Nabilla. "Laissez-le tranquille, j'irai moi quand je serai prête. Je n'ai pas besoin de vous".