Le tournoi sur terre battue débute dimanche 26 mai. Toujours au micro, Nelson Monfort a expliqué sur Europe 1 ce qui va changer cette année porte d'Auteuil.
Il a une voix que l'on reconnaît. Celle du commentateur du patinage ou de l’intervieweur sur les pistes d'athlétisme sur France 2. Mais aussi celle du tennis, et donc de Roland-Garros dont les qualifications débutent lundi. Nelson Monfort sera au poste lui, dès le début du tournoi du Grand Chelem, dimanche 26 mai. À une semaine de la date fatidique, il était l'invité du Grand journal de Philippe Vandel pour expliquer à quoi s'attendre côté logistique cette année.
Du nouveau sur le court central
En 2018, plus de 32,1 millions de téléspectateurs avaient suivi le tournoi sur France télé. "La principale nouveauté cette année, c'est l'aménagement du court central (Philippe Chatrier) et puis, la construction du nouveau court Simone-Mathieu. Géographiquement, esthétiquement, c'est une merveille ! C'est un court creusé dans le sol", s'enthousiasme le commentateur sportif.
Le plateau télé tout comme la cabine des commentateurs changent d'emplacement et gagnent en surface. "Pour le téléspectateur, ça ne changera pas grand chose. D'ailleurs, la capacité du court central reste à peu près la même", précise Nelson Monfort. "En revanche, pour les médias, les studios et les spectateurs, le court Chatrier sera beaucoup plus confortable", affirme le journaliste sportif, qui vante également un nouveau studio d'interview en sortie du court central "digne d'Hollywood".
"Il semble que je sois le journaliste sportif préféré des Français"
Au rang des nouveautés, une "spider cam", une caméra soutenue par des filins et pouvant se déplacer à grande vitesse, permettra de filmer le tournoi de manière toujours plus efficace tout comme de produire des images de la ville de Paris. "J'ai coutume de dire que l'été commence à Roland-Garros. Je crois que ce sera encore plus le cas cette année", glisse le présentateur dont le nom avait été cité comme possible partant de France Télévisions.
L’intéressé dément : "Sondage après sondage, il semble que je sois le journaliste sportif préféré des Français. Je travaille sur une chaîne de service public, il me semble donc que le public a son mot à dire. Et j'ai reçu de gentilles et fortes assurances de la part de la direction", clôt-il le débat.