Le prince William n'a rempli que deux obligations royales cette année, et a décliné les autres au motif qu'il travaillait le reste du temps pour la East Anglia Air Ambulance en tant que pilote d'hélicoptère-ambulance. Petit hic, ses collègues assurent pourtant au journal britannique The Sun qu'il n'a volé qu'une douzaine de fois depuis le 1er janvier. "Au mois de décembre, on ne l'a pas vu du tout", précisent-ils également.
Une douzaine de vols effectués depuis janvier. En 2013, le prince William avait choisi de quitter la Royal Air Force pour se consacrer à son fils George, qui venait de naître. Mais en juillet dernier, il avait repris du service au sein de l'organisme caricatif East Anglian Air Ambulance (EAAA). Ce retour au travail avait été très médiatisé, et le prince avait été photographié sous tous les angles dans son nouvel hélicoptère de travail. Six mois plus tard, ses collègues confient pourtant à la presse qu'ils ne voient que très rarement le duc de Cambridge. Il n'a, affirment-ils, effectué qu'une centaine d'heure de vols depuis le 1er janvier. "Ce boulot semble moins l'enthousiasmer que la Royal Air Force. Il a souvent l'air de s'ennuyer ici", remarquent ses collègues.
Des heures de bénévolat qui ont bon dos. Le prince William reverse l’intégralité de son salaire à l'organisme caricatif EAAA, donc il n'y a pas de scandale à proprement parler de ce coté-là. Mais la presse britannique note en revanche que le duc de Cambridge excuse souvent ses absences lors de ses obligations royales par... ses heures de travail auprès de l'EAAA. Sa prochaine obligation royale ? Vendredi, lorsqu'il devra se rendre à Cardiff pour assister au match de rugby du tournoi des Six Nations qui opposera le Pays de Galles à la France. "Mais pas question de s'asseoir et de se relaxer avec une bière à la main", raille un journaliste du Daily Beast. "William sera en représentation, il devra se montrer aimable avec tout le gratin du rugby dans les tribunes VIP". Un travail "harassant", conclut-il ironiquement.