Interrogé, dimanche matin sur Europe 1, sur le danger que représente une opération militaire au Mali pour les otages français toujours détenus par Aqmi, Laurent Fabius a simplement déclaré que "nous travaillons tous les jours pour la libération des otages. Nous avons des contacts avec les familles. D'un autre côté, à partir du moment où la communauté internationale dit qu'il faut arrêter le terrorisme au Mali, il faut le faire".
Le ministre des Affaires étrangères n'a pas voulu s'exprimer au sujet d'un possible versement de rançon pour la libération des quatre otages français enlevés au Niger et détenus au Sahel.