INTERVIEW E1 - Edouard Balladur s'est félicité, mardi sur Europe 1, du non-lieu de Nicolas Sarkozy dans le volet "abus de faiblesse" de l'affaire Bettencourt. "Je m'en réjouis et je trouve que ce n'est que justice", a déclaré l'ancien Premier ministre. Edouard Balladur a confié regretter que "plusieurs principes fondamentaux en matière de justice" que sont la présomption d'innocence, le secret de l'instruction et le secret du délibéré des juges", "ne soient pas toujours respectés". Alors que la justice s'interroge à son rôle dans l'affaire Karachi, l'ancien Prmeier ministre a déclaré "ne pas souffrir particulièrement" du non-respect de la présomption d'innocence.