Le socialiste Claude Bartolone s'est dit vendredi matin, sur Europe 1, "sous le choc de l’émotion comme le week-end où DSK avait été arrêté" après le coup de théâtre concernant la crédibilité de l'accusatrice.
"Quand le téléphone a sonné à 3h30 du matin, j’ai cru que c'était une nouvelle fois une plaisanterie", a-t-il relaté. Le président du conseil général de la Seine-Saint-Denis a dit avoir "une première pensée pour Anne et Dominique". "C'est une nouvelle que dans nos rêves les plus fous on n’arrivait pas à imaginer", a-t-il lâché.