François Bayrou a estimé dimanche lors de son meeting au Paris que la "République (avait) des questions à se poser" après le drame de Toulouse et Montauban en s'étonnant qu'un "assassin désaxé" repéré par "tous les services" puisse "se constituer un arsenal d'armes de guerre".
"Quand à Toulouse un assassin désaxé, dont on apprend qu'il était repéré par tous les services, identifié et sur la liste noire des services de renseignement américains, peut se constituer un arsenal d'armes de guerre, s'entraîner, commettre ces meurtres, les plus horribles de ces dernières années, sans que nul ne soit en alerte, alors la République a des questions à se poser", a lancé le leader centriste.