Mardi, François Chèrèque, le secrétaire général de la CFDT, a assuré que Xavier Bertrand passait actuellement des coups de fil à certaines grandes entreprises pour qu’elles diffèrent leurs licenciements. La réponse du ministre du Travail, mercredi sur Europe 1, a été cinglante. "Et puis quoi encore ?", a-t-il réagi. "Je n’ai pas deux discours. Je n’ai pas un discours public qui serait différent de celui du privé. François Chérèque, qu’il reste dans le combat syndical. Actuellement, la période est très politique."