"Le président (du tribunal, ndlr) avait déjà accepté semble-t-il de permettre la participation de Jacques Chirac seulement pendant deux audiences, il devrait faire le maximum pour que la comparution de Jacques Chirac puisse être assurée au moins pendant ces deux audiences parce que sinon on ne va plus rien comprendre, ni sur le plan judiciaire, ni démocratique", a estimé dimanche Philippe Bilger, l'avocat général à la cour d'appel de Paris.