La "très catholique" Christine Boutin suit symboliquement la route française du Pèlerinage de Compostelle, à la quête de ses parrainages, explique Thierry Guerrier sur Europe1.
La candidate à la présidentielle voit cinq à six maires par jours. Malgré les petits ballons de blanc et les cafés offerts très gentiment à chaque accueil, " ça marche pas fort côté parrainage" reconnaît-elle.
Christine Boutin s'envole aussi samedi pour la Martinique. Et pour payer tout ça, elle a hypothéqué sa permanence électorale.