Un accord conclu en septembre dernier entre l'UMP, Jacques Chirac et la Ville de Paris prévoyant le remboursement par le parti et par l'ancien chef de l'Etat d'emplois présumés fictifs a été validé mardi par la justice.
Cet accord avait été passé en contrepartie du retrait de la constitution de partie civile de la Ville de Paris au procès pénal de Jacques Chirac pour détournement de fonds, qui doit s'ouvrir le 5 septembre.