Jacques Chirac, accusé par l'avocat Robert Bourgi d'avoir reçu des fonds occultes africains, n'en est "pas au point de ne pas se souvenir de ce qu'il n'a pas fait", a déclaré lundi l'un de ses avocats, Me Georges Kiejman.
"Si mon client a effectivement des difficultés de mémoire, Me George Bourgi en a de plus grandes que lui", a déclaré Me Kiejman, interrogé par la presse à son arrivée au procès des emplois présumés fictifs de la ville de Paris.