"C'est avant tout une tragédie humaine terrible", a estimé le patron de l'UMP Jean-François Copé, dimanche matin sur Europe 1, commentant la libération, vendredi, de Dominique Strauss-Kahn.
"Depuis le début, ma position est de ne pas parler dans cette affaire. J'ai toujours privilégié la retenue", a-t-il ensuite insisté avant d'asséner : "J'aurais aimé que le Parti socialiste français ait la même retenue pour Eric Woerth dont l'honneur a été piétiné. Pour Michèle Alliot-Marie aussi". Et Georges Tron ? "C'est une affaire un peu différente", a répondu Jean-François Copé sans faire d'autres commentaires sur l'ancien ministre.