• Des annonces début janvier. Jean-François Copé a annoncé mercredi sur Europe 1 qu'il "dirait, au au début du mois de janvier", "très concrètement", ce qu'il "propose" pour sortir de la crise à l'UMP, au lendemain d'un cinquième rendez-vous raté avec François Fillon. " Aujourd'hui, il y a beaucoup trop de tensions pour se parler", estime le député-maire de Meaux.
• Copé, le psychothérapeute. "Il faut se poser", a expliqué le président proclamé mais contesté de l'UMP. "Aujourd'hui, il y a beaucoup trop de tensions pour se parler (…) Il y a un truc qui s'appelle la trêve des confiseurs, si cela peut permettre à chacun de se reposer un tout petit peu (…) Je crois que cette trêve des confiseurs sera très utile, y compris pour la créativité d'un certain nombre de mes amis", a ironisé Jean-François Copé.
• La charge contre Accoyer. Jean-François Copé estime qu'on instrumentalise et qu'on prend en otage les députés et les sénateurs en leur demandant, comme l'a annoncé Bernard Accoyer, de se prononcer sur un nouveau vote à l'UMP avant l'été 2013. "Est-ce que vous trouvez formidable qu'on instrumentalise et qu'on prenne en otage les députés et les sénateurs ? On leur a déjà demandé de faire un groupe dissident", a-t-il fustigé. "C'est les militants qui votent. Depuis quand est-ce qu'on va décider de se substituer aux militants ?", a ajouté le président de l'UMP, alors qu'on lui demandait si cette consultation des parlementaires l'engageait.
• La petite phrase. "Nous sommes encore dans le concours Lépine des bonnes idées. Tous les jours, y a quelqu'un qui vient nous annoncer une nouvelle chose sans se demander si cela est respectueux des statuts et cohérent avec ceux que veulent les militants".