Jean-François Copé, qui jugeait "logique" lundi soir que Pierre Charon - suspendu pour avoir présenté une liste dissidente aux sénatoriales à Paris - soit réintégré au sein de l'UMP, a estimé mercredi qu'il n'y avait pas "d'urgence" à cela.
Interrogé lors du point de presse hebdomadaire du parti majoritaire, le secrétaire général de l'UMP a indiqué que le sort des dissidents serait "abordé dans les semaines qui viennent" en bureau politique. "Je ne considère pas que l'urgence soit à réintégrer des candidats qui ont été candidats contre leur famille politique. On regardera ça sereinement, on en parlera entre nous et on verra quelle est la meilleure formule possible", a-t-il ajouté.