Le Premier ministre François Fillon s'est exprimé pour la première fois sur l'affaire DSK, devant les députés UMP mardi. Il a assuré que "si les faits reprochés à Dominique Strauss-Kahn étaient avérés, nous serions en présence d'un acte très grave qui n'appelle aucune excuse". C'est en tout cas ce qu'ont rapporté des participants à cette réunion à huis clos.