L’ancien ministre des affaires étrangères, Hervé de Charette, a affirmé mardi sur Europe 1 qu'il y avait plus à "attendre" qu'à craindre" de la révolution tunisienne. "Il faut soutenir cette démarche" démocratique même si la période est marquée par "le chaos" a souligné le président de la chambre de commerce franco-arabe pour éviter l'arrivée massive de migrants clandestins en Europe. "C’est une très bonne manière de convaincre les Tunisiens de rester en Tunisie".