Alors que la tenue des primaires présidentielles du PS a été remise en cause par certains partisans de Dominique Strauss-Kahn, le numéro deux du Parti socialiste, Harlem Désir a assuré, jeudi soir sur Europe 1, qu'il fallait maintenir le calendrier fixé. "Les primaires viendront après l'adoption d'un projet (...). Il faut que nous tenions le cap, face à cette opposition qui perd la boule", a-t-il insisté.
"Evidemment qu'il faut garder ces primaires : nous nous y sommes engagés, parce qu'elles donneront de la légitimité au candidat qui aura été désigné par des centaines de milliers de citoyens", a-t-il poursuivi.