SON PREMIER FAIT D'ARMES
Il s’engage aux côtés de Philippe Seguin dans la campagne contre la ratification du Traité de Maastricht en 1992. Il s’oposera par la suite aux Traités d’Amsterdam en 1997, au Traité constitutionnel en 2005 et au Traité de Lisbonne en 1997.
SON MENTOR
Philippe Seguin. Nicolas Dupont-Aignan se revendique du gaullisme à vocation souverainiste et social. A la mort de Philippe Séguin en 2011, il déclare sur son blog : "Philippe Seguin avait fait de l’indépendance de la France – garante de la liberté des Français et condition sine qua non de la démocratie – le combat de sa vie. C’est pourquoi il a lutté de toutes ses forces contre le traité de Maastricht".
SON HEURE DE GLOIRE
Principal artisan au sein de l’UMP, qui milite pour le "oui" de la victoire du "non" au référendum du 29 mai 2005 sur le traité constitutionnel européen.
SON PIRE MOMENT
Candidat en 2007, il n’a pu se présenter faute d’avoir recueilli les 500 signatures nécessaires. Avec 448 signatures, il lui en a manqué 52.
SON GIMMICK
Allergie manifeste à l’euro. A l'occasion du 2e congrès de Debout la République le 22 janvier 2012, le député de l'Essonne a déchiré depuis l'estrade un faux billet de 10 euros, en promettant de mettre fin à "ce poison", à "cette monnaie d'occupation" qui provoque "vie chère", "délocalisations" et "chômage". Son slogan de campagne : "Pour une France libre".
SON CHEVAL DE BATAILLE
La sortie de l’euro, Nicolas Dupont-Aignan en a fait son cheval de bataille. Il a d'ailleurs annoncé sa candidature à l’élection présidentielle le 21 novembre 2010, se présentant comme le candidat de la sortie de l'euro monnaie unique, et pour un retour au franc, mais intégré au sein d'un euro transformé en monnaie commune.