Mohamed Merah, auteur de sept meurtres à Toulouse et Montauban, a bien été placé sur écoutes téléphoniques à l'initiative des services de renseignement mais cette mesure a été levée fin 2011 faute de résultats, a dit jeudi François Fillon.
Le chef du gouvernement, chargé d'autoriser ou non ces écoutes dites "administratives" - non judiciaires - a expliqué sur France Inter que ces écoutes, menées selon d'autres sources entre mars et novembre 2011, n'avaient rien donné et il a donc exclu implicitement toute faute.