Le président du groupe socialiste du Sénat, François Rebsamen, s'est indigné lundi, dans un communiqué, de la suppression programmée de 6.000 postes dans le primaire, jugeant que "le gouvernement poursuit le démantèlement de l'enseignement public".
"Alors qu'un rapport de l'OCDE a déjà pointé la faiblesse du taux d'encadrement dans le primaire, le gouvernement s'apprête à supprimer 5.700 postes à la rentrée 2012", déclare le sénateur-maire de Dijon.