Après une nouvelle nuit d'attentats en Corse, "il y avait une signature sur au moins l’un des sites par le FLNC – Union des combattants. Moi je ne sépare pas la politique, pour ce qui concerne le terrorisme, et le banditisme. Je suis convaincu que depuis des années, les deux se confondent", a déclaré le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, invité dimanche du Grand Rendez-vous Europe 1- i>Télé/Le Parisien-Aujourd'hui en France.
"La politique, dans une démocratie, elle ne peut pas se traduire par de la violence, par des meurtres, par du plasticage. C’est inacceptable, il faut le condamner avec la plus grande des forces et il faut agir avec la plus grande fermeté. C’est pourquoi j’ai parlé de harcèlement", a-t-il ajouté.