Le Parisien assure que le Premier ministre, qui ne dispose pas de compte twitter officiel, aurait ouvert un compte sous un pseudonyme, d'après les indiscrétions du député UMP Jérôme Chartier au journal.
Le but de la manœuvre : pouvoir espionner incognito ce que publient les membres de son gouvernement et les journalistes. "Ça lui ressemble bien, toujours à faire les choses en douce", s'est agacé un ministre interrogé par le quotidien.