François Hollande a estimé mardi que "jamais (il n'avait été) dans une forme de vulgarité ou de grossièreté" dans la gestion de sa vie privée. Lorsqu'on lui demandait sur BFMTV et RMC s'il avait été digne, le chef de l'Etat a répondu : "Oui, je pense, (...) jamais je ne me suis livré à je ne sais quelle facilité, confusion, jamais je n'ai été dans une forme de vulgarité ou de grossièreté".
"Vous ne pouvez pas ici laisser penser que je ne l'aurais pas été (digne)", a-t-il jugé en référence à sa séparation avec la journaliste Valérie Trierweiler et à sa liaison avec l'actrice Julie Gayet. "La vie privée relève de la vie privée. Il y a toujours à avoir une relation simple avec les Français. Qu'ils me jugent sur ce que je fais, qu'ils me regardent pour ce que je suis, et je n'ai pas ici à confondre vie privée et vie publique", a conclu le président. Dans une interview accordée en exclusivité à Europe 1 mardi matin, Valérie Trierweiler a souhaité "bonne chance" à François Hollande pour les trois prochaines années de son mandat.
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