Eva Joly, candidate EELV à la présidentielle, a estimé vendredi, concernant Seafrance, que l'idée de la coopérative n'était "pas la panacée universelle", et plaidé globalement pour "des fonds" pour aider les salariés à acquérir leur entreprise quand elle est en difficulté.
Sur France2, Mme Joly s'est dit "très proche de l'économie solidaire et sociale" mais la coopérative (Scop), proposée par le gouvernement aux salariés de Seafrance, n'est pas "la panacée universelle". "Pour sauver une entreprise, il y a beaucoup de critères, on ne peut pas demander aux ouvriers de mettre leurs indemnités de licenciement et penser que le problème est réglé", a-t-elle expliqué.