Alors que Jean-Louis Borloo a officialisé son départ de l'UMP, l'état-major du parti de la majorité pourrait priver les parlementaires radicaux et centristes de financement, selon les informations d'Europe 1.
Ceux qui quitteront vraiment l'UMP, ne pourront plus prétendre en obtenir le soutien aux prochaines législatives. Pas plus que le financement de leur campagne. L'ancien ministre Alain Marleix, secrétaire national aux élections du parti, a été chargé par Nicolas Sarkozy d'étudier chaque cas et de passer au crible toutes les circonscriptions. Il devrait attendre mars ou avril 2012 pour investir les candidats, soit un mois avant le scrutin présidentiel.