François Fillon, tout en excluant ce cas de figure pour 2012, a estimé mercredi que la primaire était un "processus moderne qui convient à droite comme à gauche", rappelant que l'UMP y avait déjà eu recours, "notamment lors des dernières élections municipales à Paris". Le Premier ministre s'exprimait à Matignon lors d'une conférence de presse commune avec son homologue québécois Jean Charest.