"Ce qui est clair, c'est que le président de la République vient de commettre un acte profondément anti-démocratique", a estimé Marine Le Pen, qui n'a pas été consulté par François Hollande pour préparer le sommet du G20. "Parce que refuser de recevoir la représentante de la troisième force politique du pays, sous prétexte qu'il ne peut pas faire plaisir à tout le monde, (...) c'est la démonstration de la connivence entre l'UMP et le PS.
"Le système UMPS essaie de se reconstituer pour tenter de lutter contre les seuls qui sont capables d'être en réalité une opposition convaincue contre les socialistes au pouvoir", a jugé Marine Le Pen.