Vous avez loupé un épisode ? Pas de problème, Europe1.fr vous livre l'essentiel des dernières infos de cette soirée du premier tour en 5 minutes chrono.
# La dernière estimation : 48,31%
A 17 heures, la participation s'élevait à 48,31%, selon le ministère de l'Intérieur. Un chiffre en baisse par rapport à 2007 à la même heure (49,28%). Si cette tendance se confirme, on se dirige vers le taux de participation le plus bas pour un premier tour des législatives sous la 5e République. Selon une estimation de l'Ifop-Europe 1, la participation devrait atteindre 60% à la clôture des derniers bureaux de vote à 20 heures, très près de la participation réelle du premier tour 2007 (60,98%).
Au vu de l'estimation de la participation définitive Ifop à 20h (60%), le seuil pr se maintenir sera en moyenne de 21,5% au niveau national— Ifop (@IfopOpinion) June 10, 2012
# Le coup de gueule : des élus démissionnent
Pour protester contre le projet de ligne à très haute tension du futur réacteur EPR de Flamanville, les élus d'un village de la Manche avaient décidé de boycotter le scrutin législatif. Mais les dix conseillers municipaux ont été réquisitionnés pour s'occuper du scrutin. Furieux, ils ont décidé de démissionner.
# Ils ont voté : le défilé des personnalités politiques
De Jean-Marc Ayrault à Nantes à Alain Juppé à Bordeaux en passant par François Bayrou à Pau, les personnalités politiques ont défilé dans les bureaux de vote pour ce premier tour des législatives.
# Le tableau d'honneur : La Corrèze
Le département où les électeurs ont le plus voté jusqu'à présent est celui du président Hollande : la Corrèze (58,85%). En revanche, Paris obtient la palme du plus faible taux de participation pour l'instant, avec à peine plus de 40%.
# Le couac : incident dans le Pas-de-Calais
Un incident est survenu dimanche matin dans un bureau de vote de la 11e circonscription du Pas-de-Calais où s'affrontent Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon. À l'ouverture d'un bureau de vote de la commune communiste de Méricourt, le président de ce bureau a refusé la présence d'un assesseur du Front national qu'il estimait ne pas être en règle. Les policiers sont intervenus pour prendre sur place les dépositions des protagonistes. "Les opérations de vote n'ont pas été interrompues" a affirmé la préfecture, qui a validé la présence de l'assesseur FN et a décidé de doubler le nombre total d'assesseurs.
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