Le député UMP de la Drôme, Hervé Mariton, estime que "les 35 heures sont mortes" et que la présidentielle "doit être l'occasion de valider ce constat de décès", dans un entretien au Figaro de mardi, où il prône aussi de nouvelles privatisations pour aider au désendettement.
"Il ne faut pas faire croire aux Français que les réformes seront légères. Mais on peut leur dire qu'on s'engage à continuer de bien les soigner quoi qu'il arrive, mais que les 35 heures sont mortes. L'élection présidentielle doit être l'occasion de valider ce constat de décès", selon lui.