"Nous avons vraiment fait ce qu'il fallait faire. Demandez aux fiscs allemand, anglais ou américain comment ils travaillent. En face, ce ne sont pas des enfants de chœur", a commenté Eric Woerth interrogé par leJDD.fr, commentant l'article du Monde mettant en cause la liste des 3.000 évadés fiscaux.
"Cette affaire de HSBC a été une belle défense de l'intérêt général", soutient-il, affirmant que le gouvernement de l'époque avait "utilisé" ce dossier pour montrer que "l'Etat français était présent" dans la lutte contre l'évasion fiscale.
Et de conclure : "Imaginez un instant que ces données communiquées au fisc français, nous ne les ayons pas utilisées. Je pense que ça ne ferait pas un article commercial du Monde…"