Jean-François Copé, président de l'UMP, a condamné jeudi les actes d'homophobie "abjects", mais a rejeté tout "amalgame" avec la majorité du mouvement anti-mariage gay et a pourfendu les tentatives d'"instrumentalisation". "L'immense majorité des Français qui sont opposés à l'ouverture du mariage et de l'adoption pour les couples de même sexe n'ont rien à voir avec la minorité d'extrémistes qui commettent des violences punies par la loi", poursuit l'ancien ministre.