En déclarant dans Le Point à paraître jeudi qu'elle ne voulait pas que son époux "fasse un second mandat" à la tête du FMI, Anne Sinclair a ravi les proches de Dominique Strauss-Kahn, qui voit dans cette petite phrase un pas de plus vers la candidature de l’ancien ministre de l’Economie. Contactée par leJDD.fr, Sandrine Mazetier, député de Paris, ne dit pas autre chose: "Ce genre de phrase n'est pas neutre, c'est même déterminant." Pour cette proche de DSK, "il convient d'abord de relativiser cette fameuse baisse dans les sondages dont tout le monde se gargarise en ce moment. Certaines études ont montré un tassement, c'est vrai, mais Dominique Strauss-Kahn reste malgré tout en très bonne position pour obtenir l'investiture des militants, puis le vote des Français."