Invitée mercredi matin de Radio Classique, Aurélie Filippetti a assuré que la circulaire de la Chancellerie, dévoilée mardi, facilitant l'accès à la nationalité française des enfants nés à l'étranger de mères porteuses "n'est pas une légalisation de la GPA à venir". "C'est simplement une régularisation pour 40 cas d'enfants qui aujourd'hui se trouvent dans une situation administrative absolument kafkaïenne", a-t-elle ajouté.
"Il y a 40 cas d'enfants qui sont nés à l'étranger d'un père biologique français et d'une mère sur laquelle existe un faisceau d'indices pour penser qu'il y a eu une gestation pour autrui. Ces enfants, ils existent, ils vivent, ils sont en France aujourd'hui", a poursuivi la ministre de la Culture.