Interrogée sur l’affaire Copé et sur l’organisation de la campagne de 2012, dont elle était porte-parole, Nathalie Kosciusko-Morizet, invitée vendredi matin d’Europe 1, a assuré qu’ « elle ne s’occupait pas de cette partie là, mais je n’ai pas de raison de ne pas croire Jean-François Copé. Il a d’ailleurs annoncé qu’il portait plainte. Il aura à cœur de démontrer toute sa bonne foi."
Quant aux conséquences que cette affaire pourrait avoir sur la campagne des municipales, la candidate UMP à Paris estime que "les militants de l’UMP savent que dans les campagnes, il faut dépasser les partis politiques, qui ne sont qu’un outil. A Paris, je n’ai pas voulu bénéficier des fonds de l’UMP. La campagne de Paris est financée par des Parisiens. C’est un choix. Aujourd’hui, les Français ne sont pas passionnés par ce qui se passe dans les partis politiques."
LA PHRASE - Bernadette Chirac "ne connaît pas du tout M. Copé"
RÉACTION - Le soutien gêné de l'UMP
L'INFO - Copé va déposer deux lois sur la transparence
ON VOUS RÉSUME - Une du Point : ce qu'on sait sur "l'affaire Copé"