Le président du directoire de PSA Peugeot Citroën, Philippe Varin, a estimé avoir été "entendu" par les pouvoirs publics sur les difficultés traversées par le groupe, même si le gouvernement a jugé son plan de restructuration en France "inacceptable en l'état".
"Ce plan est un choc", a reconnu M. Varin lors de la conférence de presse pour les résultats semestriels du constructeur automobile. "C'est une décision qui comme tout choc, au début, est difficile à comprendre", a-t-il poursuivi.Le président de la République François Hollande a dit que PSA devrait modifier son plan, qui prévoit notamment 8.000 suppressions de postes en France et la fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).