Dans l'affaire DSK, "il n'y a aucune raison objective qui permet aujourd'hui de penser qu'on ira plus vers un procès que vers une transaction finale. Il est tout à fait possible - à un moment donné - que les avocats de la plaignante négocient avec ceux de Dominique Strauss-Kahn", a analysé, mardi matin sur Europe 1, Me Jean-Pierre Mignard, avocat et membre de la Haute autorité chargée, au sein du PS, de veiller à leur bonne tenue de la primaire.
"Cela veut dire que le parquet - dans ces cas là - peut abandonner l'accusation première et que l'on descende très en bas de la hiérarchie des incriminations", a-t-il encore ajouté.
Dominique Strauss-Kahn a plaidé lundi devant un tribunal de New York "non coupable" d'avoir tenté de violer une femme de chambre, une décision attendue ouvrant la voie à un procès qui l'opposera à sa victime présumée.