Christian Jacob, le chef de file des députés UMP, a soutenu mercredi sur Europe 1 que la majorité n'était pas divisée sur le sujet de la déchéance de la nationalité, tout en admettant que les membres de l'UMP avaient "des points de vue différents".
Pour éviter les querelles intestines, l'UMP a décidé mardi de ne pas étendre la déchéance de nationalité aux assassins de policiers. "Nos débats sont transparents", a-t-il par ailleurs tenu à préciser, s'inscrivant en opposition avec le Parti socialiste. Christian Jacob s'est ainsi attelé à défendre le concept des réunions du bureau politique de l'UMP, durant lesquelles, a-t-il dit, personne "n'a le doigt sur la couture du pantalon".