Jean-Luc Mélenchon a estimé dimanche matin que nous étions "à l'aube d'une rupture". "Personne ne peut dire si l'euro sera encore là dans un mois et demi. Si tout était comme vous le dites, il n'y a aucune raison que j'ai autant d'intentions de vote. Je devrais être à 1%. Je suis la démonstration ambulante de ce que je dis", a-t-il commenté sur le Grand rendez-vous Europe 1/i>Télé/Le Parisien-Aujourd'hui en France.
Le candidat du Front de gauche a prévenu : "attendez-vous encore à des surprises d'ici le premier tour. Et quoi qu'il arrive, au second tour, nous avons besoin d'une lourde défaite de M. Sarkozy et d'une lourde raclée de Mme Le Pen, deux conditions pour pouvoir continuer". Le but de Jean-Luc Mélenchon est d'effectuer "une répartition profonde de la richesse de notre pays".