François Rebsmen, sénateur-maire de Dijon et spécialiste des questions de sécurité au Parti socialiste, est revenue sur l'intervention des policiers face à Mohamed Merah et évoque des "défaillances" de surveillance, dans une interview à paraître dans le Journal du Dimanche.
"Mais ce qui apparaît aujourd’hui, malgré les dénégations de la police, c’est qu’il y a eu une série de retards à l’allumage. Tout le monde se demande comment il est possible qu’un individu répertorié dangereux comme Mohamed Merah n’ait pas été davantage surveillé depuis son retour du Pakistan en octobre dernier. Comment a-t-il pu se constituer un stock d’armes et de munitions sans attirer l’attention de quiconque… Je crois que la DCRI doit répondre de ce qui apparaît comme une défaillance", a-t-il déclaré dans le JDD.