Alors que l’examen du projet de loi sur la réforme pénale a été renvoyé à après les municipales, comme l’a annoncé Alain Vidalies mercredi, Christiane Taubira, qui défend le texte, ne décolère pas. "Je rappelle que c'est la connexion au calendrier électoral qui constituerait une faute politique, une faute éthique", a déclaré sur France 3 Aquitaine la ministre de la Justice, qui souhaitait aller le plus vite possible sur ce dossier.