Caricature. "J'ai été choqué par cette mise en scène incroyable alors qu’à l’évidence il est candidat", a raillé lundi François Baroin sur Europe 1, suite à l’intervention télévisée de Dominique Strauss-Kahn sur France 2, qu’il a qualifié de "comédie de boulevard".
Rivalité. "Je pense que quelqu’un comme François Hollande, il faut s’en méfier", a jugé Jean-Pierre Raffarin mardi sur Europe1, alors qu’il était interrogé sur l’adversaire le plus dangereux pour Nicolas Sarkozy en 2012.
Pris par les sentiments. "Nous avons un cœur qui bat dans notre poitrine, comme vous", a dit à l’AFP Patrick Ollier, ministre des Relations avec le parlement et compagnon de Michèle Alliot-Marie, au sujet des critiques sur leurs vacances tunisiennes.
Ironie. "Fin d’un insupportable suspense. Qui sera la candidate socialiste à la prochaine élection présidentielle ? J’ai trouvé : ni Martine Aubry, ni Ségolène Royal mais, bien sûr, Anne Sinclair…", a ironisé le ministre de la Défense Alain Juppé, en référence à la place de l’épouse de DSK dans la communication du patron du FMI pour 2012.
Nostalgie. "J’ai retrouvé Nicolas Sarkozy tel qu’en lui-même, l’éternité le change", a déclaré vendredi Dominique de Villepin, après avoir été reçu à l’Elysée, dans le cadre des consultations du G20.
Démenti. "Les rumeurs ne m’intéressent pas. Je suis dans mon travail au Quai d’Orsay (…) et c’est ma responsabilité de tenir la maison et d’améliorer la situation", a résumé Michèle Alliot-Marie vendredi sur France Info, alors que les tractations autour de son éventuel départ du gouvernement se multiplient.
Pas de temps à perdre. "Si remaniement il doit y avoir, je donne un conseil : il doit avoir lieu vite, au moment même où il se fera sans avoir à anticiper plusieurs jours, plusieurs semaines, plusieurs mois à l’avance (…). Un remaniement, on l’annonce le matin, on le fait l’après-midi", a estimé Christian Estrosi vendredi sur Europe1, en référence aux rumeurs de remaniement, liées à l’éventuel départ de MAM.